• Que désires tu sinon le blanc de lune en travers les orseilles machinales,

    le savon populaire en tranche d'épopée?

    Que feras tu demain de l'écope pleine d'eau et de poulpes dévissés,

    la trique d'un matin désamour entoilé?

    Que ne dira t'on pas si la montre s'oublie dans le petit mouchoir,

    que la trêve aura assez duré entre les poils et l'épée?

    Que sournoiseras tu en médisant le quart de train que tu n'auras pas grimpé,

    sauteras tu de quai en pal en renaclant à mourir?

     


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  • Queuté dragonnard styliste de la peau flambée

    Rougefeu que les capuches absorbent

    Tain des enfers dégoulé de la bonde

    Pipes éteintes au bout de la langue moulée.


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  • Vendredi à la touille de gouvernement ouvert comme la lagune d'Ostrasie.

    Samedi à la boire et à la manger sous l'étoile tumeuse de la vie

    Dimanche renaclé entre les tombes mi closes de l'hiver

    Lundi Kouchner s'achète un tapis volant

    Mardi le gras m'en tombe, je ne voulais pas être grossier

    Mercredi les gens vont à la coucherie de lémures

    Jeudi tu jouis du dernier con palmé qui fait du jus entre tes doigts.


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  • En convexe de toi, le ventre en ouverture sous les mains circulaires

    et les mots ressassés au bord des quatre lèvres,

    je lasse les moteurs de la chair

    tu noues les jambes à la seconde drossées vers le lit.

    Peine des heures d'âmes vidées sur le quai des abandons.

    En concave de toi, subsidiant et annexe à ton échappée belle

    je moule la langue de ma bouche pour taire les abscences.


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  • Samedi à la pipette, trois fûts qu'ils n'ont rien vu,

    Dimanche jésuistique là où les feuilles mortes

    Lundi bis répétita et circum-course autour de moi même

    Mardi vous l'aurez dans le Fillon, rupture de mes entregentes

    Mercredi mouches toi et pipi sur le bulletin

    Jeudi sur les crêtes scellées de la montagne des quatre fers à vapeur

    Vendredi à la vitole rougie par les doigts d'entrechattes

     


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