• Te taille de pied parti au cap de l'espérance transitée par crépuscule l'immonde rond.

    Hou hou, oiseaux d'augures lestes aériens que le vol à mi cuisses capte tel l'aromate des fous,

    Tiens, voilà l'albertin à la pêche d'aiguilles!

    Te baille sous la taie coinçonnée entre toi la donze nue et l'étoffe des nuits aspirées,

    Hou, hou, je voulais croire à la catastrophe sur le corps de mon ventre écarté,

    Aïe, tu m'as oté le gland du grand effeuillé!

    Aïe, tu m'as dérobé l'âpre capuchon concupisce!


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  • L'heure du vent mandarin, le souffle des convexions venue du coeur des hommes.

    Les mots étiagent les mots en refluement du désir; ils ont respiré le sel et l'oeuf de leur naissance,

    Ils ont bu l'amiotique sacré, le jus  maitre de la vie,

    Ils auraient voulu vivre plus que de raison, après la mort s'entend.

    L'heure du vent mandarin, le trait de plume à l'entrecroise de nos mains,

    Les mots s'épurent de leur encre monotone, déjà le voile sur les yeux.

    Vivre! Vivre! Vivre en allant de silences et de rêves,

    Vivre à petit peu, en écriture des pas à pas,

    En manuscrit de la déroute, de la trace votive de la vie, de l'homme qui n'aura pas porté le vent sur son dos.


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  • Tu sens le vin , potron,

    Tu digères mal la saucisse d'Auvrey,

    Tu digresses lors des embrasements de ventres,

    Tu picoles comme  outre mégère,

    Tu fumes le boucher, à la grassouille de table!

    Tu pompes au puit des dypsomanes, jésus que tu pues!

    Tu enterres bien vite patronne la pouffée des cabinettes incestuées,

    Tu n'iras pas au bois mourir de tes sermons,

    Tu boiras la lie jusqu'à la couperose.


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  • Non, pas l'atone bouche convexe posée sur le pli aspiré

    Non, pas l'atome de mouche branlé entre deux pouces

    Non, pas de vitole consumée par l'aérophage sinistré

    Non, pas de cercle intermédiaire qui ouvrirait d'anciens cachots

    Non, pas de chuchotement sur l'arbre où tu pleures

    Non, pas de neige sur le chemin des larmes morcelées

    et pas de tutoiement précipité que le bourreau arrache.


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  • Falopes déroulées, petits chevaux cursés sur le trait fin de jus.

    Oh le rire vertical!

    Il est le joui des ondes toussées, des onomatopées de lits.

    Le ventre sonde le ventre, petits invertébrés glissés en demi lune,

    Amour, iris des rires!

    Allez, de pis en pis, mamelles en extension et vergers de mains gauches,

    Outres paumes lissées entre les cataractes de spume et de ficelles.

    Baisifs, les reins à meubles!

     


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