• Foutrement délectable cette huisserie pleine de chairs

    Une rose se hâte d'y jouir l'eau et le sang, pénétrée par l'horloger

    Quant à sa montre elle fuit, spumeuse comme l'éjacule des prêtres

    A cette messe pleine de draps noués autour des reins confits

    L'autel est un chaland onaniste noué en aval du fleuve mousseux. 


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  • Sandouille qu'il aurait dû recevoir le plénipotentiaire avec la gratitude des vassaux,

    Sandouille aurait il dû courber l'échine voire s'accroupir fion concave

    Sandouille sa révolte superficielle n'aurait elle exprimée que le désabusement du chasseur chassé par la femme du cerf

    Sandouille son hôte aurait il dû franchir les murs de la ville par les égouts ou les auvents puants

    Sandouille que son port de tête trop hautain (négligence de sa part) fût interprêté par l'ambassadeur comme baisage en perspective

    Sandouille Tambouille branlochée le pouvoir en balance ca sent le putch au pudding que les raisins colériques annoncent comme tranchée de col et vide-ordures pleins de tête de noeuds.

    Sur ce quoi comment par là l'ambassados se tire par la grande porte et Tambouille Sandouille tout à coup fion convexe se sent pousser des burnes à l'étalage de ses désirs de régner.


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  • Ramassé l'hippophage, cheval de Troie à rebours de l'histoire, je mange la selle du grand inquisiteur

    Les temps pénitents révulsent  la conscience du coquillage, le crabe tout en cachotteries

    Hue cocotte la porte des quatre vents fuit au devant des salves de pets

    Au sérail emportement des vierges, je branle mon chef l'opiniâtre goujat sur cheval déchainé

    Halte au marigot d'avant enlisement, l'hippocentré cavalcade tout en retenue de rènes

    Hue en contre temps de pluie, nourrir ici plutôt qu'aux sources de la mort

    Manger la bête sur la glace, frissons et glacis, et retenir le rire des bourreaux alors que morne plaine s'entâche de cadavres.

    Ramassé l'hippophage, un trait de cheval dans la neige où le dé, cube des repas spontanés, clame l'innocence des soldats.


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  • Le mètreur évalue la distance entre la faim et la famine

    Sans idéal il étudie la décroissance des repas-chiffres vu la quantité d'aumone disponible

    A peu près apolitique il dénombre les frontières maudites

    Mesure la connectivité des crises alimentaires entre elles

    Le métreur remue ses compteurs, énumération des chaos

    Vivre n'est pas de ses domaines, fils de l'exploiteur pénitent il rapporte en frigidaire sa mathématique de mort.

     


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  • Deux mots vite slipés, ta calebasse pleine de foutre

    A boire à boire disait René en extension sur le cul de Joe, le chien méphitique

    L'amour était un abattoir, un état jean-foutre spongieux

    L'imparfait s'imposait... Deux mots vite slipés à l'enseigne de pucier:

    "Ici calebasse pleine de jus" A votre bonne libido mesdames messieurs

    A boire à volonté, taverne humide à gogo des danseuses burnées

    Et des fendues nocturnes en impasse de carresses

    A boire disait René repu sur son clebs liquide, l'anus en éventail

    Une certaine puanteur exhalait de la chambre, il n'en revenait pas d'aimer.


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