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Dimanche petit joui sur le napperon liseré d'eau
Dans la cohorte de nénuphars tes tissus volent et se noient
Parmi les éjacules grimées en sourcier tu trouves le jus fécondant
Dimanche petite écaillée sous le tracteur d'anubis
Dans le nombre insignifiant de saccades tu en trouveras un qui porte le dossard trois
Il fera des acrobaties mathématiques pour mémoire de son amour.
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Sur tes lèvres pépiées le rouge à vif de la montre poignardée exsude des aiguilles de sang
Quelle heure est-elle qui ne sait retrouver la trace du Gourd-Soif
Sur ton cul cranté de dents morpheuses que le dormir rend molles je crache des molaires épidémiques
Quelle heure est-il entre nos peignes assoiffés qui ne savent plus dire merçi
Sur ta nuque vrillée comme une gourde d'eau chaude ma minette se tord en queue de plombes
Quelle heure est-elle la ville catastrophes sur ses arêtes mortifères
Sur ta vulpe droguée le jouet de cerceaux amarre des bouteilles érotiques
Quelle heure est-il au centre de l'horloge motrice de mes cuissons.
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Le journal de René vingt cinq yème...
Prendre par la droite du rade, je titube entre deux paquebots de poubelles, les ressorts de la conscience coincent dans mon bide brulé, je prend une trajectoire oblique, les ordures me sédimentent.
Je suis rentré par l'avenue des conséquences tragi-comiques, j'ai traversé une zone homicide, les nerfs à vif broyés par l'alcool, les traits tirés vers les coins de mes poches.
J'en rire de lémures dépeceurs de solitaire, j'écrase une allumette en jupe courte, je gerbe du violet sur le dos d'un garde nucléaire, mes lattes me portent vers la porte du déchiffrement Jean-Pierre.
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Ecrire ah la distance entre les mots non comblés par le souffle
Je transpire sur le papier démesuré j'inonde les nervures de l'encre
Je patine m'écroule les mots se dirigent vers la sortie du livre
Ecrire tout en écroulements tout en boire la peinture d'une prose exténuée
Je me troue dans le gras de l'adverbe je pue dans le chapitre quinze
J'en termine avec ce faisandé ce puissant dégagement d'échec liquide
Ecrire l'esprit de mon regard déjeté je suis dans l'hagard de la langue.
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Le journal de René Vingt quatre yème....
A l'heure où je pénètre dans les wouaters je me considère comme un vif en sursis, un corps sous le hachoir, une bite amarrée aux crocs de Mathurin le garde nucléaire.
L'envie de pisser est plus forte que la crainte d'y rester alors je fais le pas des destructions dans un préliminaire à la torture qui me rend plus servile à la mort mais plutôt mourir au sec qu'inondé en urine humiliée
A la porte des closed je me fourvoie un peu en trouille couilles rouges, l'humanité d'un homme me répondrez vous, le grand caractère d'un branleur de chien qui ne sait de la peur que ses enseignements lugubres malfaisants
J'y pénètre avec la conviction d'y abattre des salauds, d'y couper de la couillasse de lémures tout occupés à déféquer sur le siège du vainqueur de la dernière bataille dite des " Grands Arrangeurs de la Conscience Jean-Pierre"
A l'heure de la grande pénétration des chiottes, par mon message post mortem aux vifs qui se les nouent, par mon sacrifice dont on se contre fout, je redis à l'humanité que je brûle ses héros, je redis au pays que je branle ses deux connards de ministres qui se reconnaitront à peine les nommais je l'Hortefeux le Besson kapos dans la lande francaise à courir la jumelle étrange étrangère , je redis à maman que je n'aboierais plus au lunes espiègles, allez je rentre dans les wouaters, adieu cochons umpistes.
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