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lorca1 le
9 Décembre 2005 à 11:33
Rien n'y fait,le temps dégrade le corpsalors que l'esprit s'éclaire.Il est donc sainde faire de l'espritle corps pérenne du futur.
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lorca1 le
9 Décembre 2005 à 11:25
Quatre goules déboulent graves de libidines et de soupirs baiseuxgriffues leurs carresses sur moiet leurs langues livides pivotent sur mon ventre brrrl'une me sonde de rictusl'autre me palpe avec sinuositél'autre m'enboguent dans sa paires d'auriculairesl'autre m'anussent en écartant le tapis de chairsje sombre dans les quatre fontaineset m'éveillant me dresse dans le litpoignant de membre éjaculé.
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lorca1 le
9 Décembre 2005 à 05:30
chaleur matinalemes mains en appont sur ton frontet l'ouverture soudaine de ton corpsappel de l'âme amoursynthèse des bouches comme des valvesqui se sucrent l'une l'autre prennent au puit l'essence pure d'eauet font de la chair sur la chair en fond de lèvres et de dents vrilléesdésculptées démanchéesles gonds de tes cuisses s' huilentroulent et avalant ma faimenveloppent le sexe qui se fonden plongeant sous le châpiteauouvert comme des lignes pleines et parrallèlesle temps passe sucé par le réveil qui sonneque nenni nous irons au bout de la jonction des sueurs et des rirespleine des traits qui sillonnent les ventresincurvés comme pour rendre à l'autrela jouissance éprouvéeet le fil humide de la vie.
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