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Dimanche l'onde mute la vague trouble le bain d'ivoire
Le corps déficèle les draps, brassée de cris pullulés, avalasse de jus.
Tu ne reviendras pas dans l'angle de l'amour, le couloir est éteint
l'aube a clos la vie dans tes yeux de père.
Le soir trouble le silence, je voudrais pleurer sur le sac des souvenirs en papier,
la porte rouille, la vérité se gonde, elle ne fût pas toutes les vérités.
Je tourne le dos à la vie, la marche d'usure vénère l'arbre terminal,
dormir, dormir pour ne pas mourir en absence de toi.
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Le poids sarkyste des mots, il est plombé le vocabulaire; reste aux enfants sans papelards de courir courir courir dans la ville grise avec aux trousses les sbires du petit potentat.
La veine sarkyste , l'épaisse admonestation genre menton relevé genre Musso; oh vous savez en une autre époque ils ont touché la queue de diable vert de gris!
La présidence sarkyste, le long fleuve d'usure des plus affaiblis, des non domiciliés, des errants, des sans mots, des à poils sociaux. Ca va chier dans le palais! Au cabinet sarko!!!
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Mardi creuset des soupirs, l'attente sera longue
Mercredi à la soupe nocturne que bondent les lémures
Jeudi à l'entrouverte, à celle qu'amour fieu dans le coeur de l'homme
Vendredi aspiré par les draps viandeux sourds
Samedi picre à la louche et tonnelet de porc
Dimanche aux anneaux de muscles, hue hue l'écrevisse
Lundi ira son trouble, l'or de tes yeux continentaux.
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