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Jamais était un phare....
Jamais était un phare tenu plus loin que l'oubli, son double en perpléxité
Il m'arrivait d'en atteindre les manches mais nullement le coeur
Car Jamais était éloigné si profondément que les même les temples n'en faisaient pas office
Il faisait fantasmer l'homme dans son éternel usage erroné de la parole
Celui çi le suppliait de le faire grandir et le craignait comme un silence trop éloquent de ses désirs
Jamais voyagea loin dans la sphère spirituelle de l'humanité qui le soumit aux plâtres
L'image du grand mirage prit des formes fantasques, on le vénéra comme l'étoile des vies et des morts
Jamais fût éteint par un homme éreinté, le dernier des voyageurs à rebours, le soliste du monde achevé.
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