-
Je dégraffe le cintre....
Je dégraffe le cintre qui épaule tes hanches par dessus la longue écuelle de sang
Tu n'entends pas être celle qui demeure après l'in-cathédras de draps sur les corps
J'entend ta voix dire les oreilles de l'âne, il se distingue parmi tes amants rognés
Tu patines sur mon phalle éreinté, le piétine avec la colle des nuits boursouflées
Mes sommes de sommeil te rendent grâce, il n'est plus l'heure de bruire
En avant carpes et lapins, tu te grimpes aux lianes excessives et brulantes
Je déroule une écharpe de dents dans ton palais des estivaux, ta langue en suppositoire
Tu rampes sur mes enflés, ô les sourcils ouverts qui baillent dans ta vulpe
Fouir toujours, les jouissances repues sur leur frein d'après montre.
-
Commentaires