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Je suis venu périr...
Je suis venu périr, mes cieux en attelage
Pas de vis à l'écrou, pas de nef dans ma poche
Un mal de chien jauni par la pluie des crocos
La tempête se lève, le vent doigte une autruche
Je suis venu périr, la lune se fait brosser
Je voudrais une tombe similaire à l'oiseau
Trois plumes et un bâton, un trou près du torrent
Un cri nait du tiroir, le chien en escarpins
Je suis venu périr par la potence gauche.
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