• La nuit sous tes saillies ouvertes....

    La nuit sous tes saillies ouvertes, tout en engorgement

    Les corps en pointe ravalés par les ombres laiteuses de la chambre

    Les reins déconfits, ô les ressacs de chairs sur le ventre broyé

    Par la fenêtre penchée l'aube ramasse les pourpres, oracle infini

    Les pentes de ton ventre sont habitées du tendre, ma bouche en conclusion

    Sur ta vulve perlent deux gouttes menstruelles.


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