• Le lit éponge les corps....

    Le lit éponge les corps,

    les traits glissent encore un peu, les doigts refluent hors des pentes de chairs.

    Biaiseuse, la lumière chancelle, elle draine des assiettes de poussière.

    Le lit souffle entre les cuisses de l'homme disserté par l'horloge dolente,

    le lit souffle entre les cuisses de la femme moutonneuse presque évanescente,

    les fins suints de peaux coulent encore pleins des avoirs agités conservés dans les creux;

    alors se vident saillants ou concaves les muscles chauds en litières de sang.


  • Commentaires

    1
    Jeudi 17 Janvier 2008 à 22:08
    l
    trace à la lames sur la peau des lambeaux de chaire_le tout sera à vif demain_le tout pour qu'elle oublie l'essentiel_la perte de l'autre_les chaire flasque et molle s'amoindrissent en_corps_ces mains à lui me bouge pas_tant que sont corps tièdes se presse contre_c'est bien normale_qu'il ne réagisse pas_elle existe_pour rien
    2
    Jeudi 17 Janvier 2008 à 22:09
    l
    et le sang perle sur les chaire_le tout comme des larme de rosées_rouge sang_vif
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