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Miettante la pensée atone....
Miettante la pensée atone il renoue avec le silence des murs vaille que vaille ses excés fourbis avec l'âge des malentendus puis des révolutions de son corps
miné puis retapé par la force de fondre des clefs improbables puis miné par l'inconvalescence l'improbabilité de surgir hors de lui même puis retapé par une volonté de nuire plus que d'être nuisible
outragé par son trépas social et réinventant des espaces clos pleins de vides à consumer il engage ses fantômes à dénaturer son regard
le temps se désordonne la confusion active des confusions il frelate la lumière objective puis ploie dans le sas des absolues névroses
s'affichant en tortionnaire des oiseaux peints sur le papier de sa chambre banni des miroirs et des recours en grâce.
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Commentaires
Je kiffe tes phrases toutes bizarres.