• Ne saisir, folie des hermétismes....

    Ne saisir, folie des hermétismes, que sa peau, son dé roulé à l'ombre du saule en catastrophe

    Il réinvente les pierres gravées les peau tendues au soleil d'un Zô masqué pour le quart d'heure

    Ensuite l'eau viendra délayer les facades, tu l'as vu l'intendant versifiant?

    Je grimpe à son arbre aux empreintes brisées, sa douce incontinence de mots peints

    Ne saisir, hermétisme clowné, que les faits de jouissance et leur abats de rire

    Tu te donc réinvente? Donc tu te l'abstraite manuscrite ta file indienne d'encre?

    Il graisse des troncs de saules morts, des souches de vifs, ô ne crainds tu pas la pluie?

    Il pleut, mouroir des eaux, bénies soient les villes étanches, les poètes en papier

    Je croise un peu de l'absalon chez toi, je te rejoind sur le secret, le livre est une source

    Empoisonné, hermétique, clos, en mutation sur les arbres insensés

    Je m'indiffère à la seconde rare d'abstraction, une clé rouille sur le dé silencieux.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :