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Rien là...
Je te regarde, toites soupiraux s'estompent par la distancequi nous rompttu fumes quelques nuagesen éloignant ta course à l'évasionje te vois là bashorizontale, brassée par l'océan indiennue à l'heure des coïts palméset des mains serrées sur l'arbretu chantes quelques révoltes calcinéessous le soleil médian d'un midi apeurédeux silhouettes coursent sur l'onde l'ombre de la terre distanteje te sais en question sur la roue abrasivetu me dis les semis plongés dans le ventrede ton ventretu me dis la décomposition des senset les vertus de ton regardnous courons le concert d'oxygènevite avant de mourir l'aube.
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