• Rien là...

    Tu demeures, ardente cicatrice
    les billes roulent sur le linoléum
    les enfants trainent dans les placards
    il fait noir sur le cou
    et la nuit à tâtons qui déchiffre le frêre
    la clef fouille le verrou
    des noeuds me taillent une cagoule
    je ne voudrais pas entendre
    partir par la bonde avec l'eau
    je m'enfonce dans mon petit lit d'enfant
    aguets de plaintes
    souffle coupé
    demande d'abscence pour la vie.

  • Commentaires

    1
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 19:17
    lorca
    Pour le petit lit d'enfant...et les ardentes cicatrices...puis-je te mettre dasn mes liens s'il te plaît ?...
    2
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 19:19
    Oui
    chère Volcane, dans les liens fraternels, par les regards prononcés de ceux qui savent un petit peu. Pensée du sud du monde.
    3
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 19:22
    c'est fait
    Zones Protégées. Baisers parisiens rapides et furtifs.
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