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A boire, croupe fendue!
A dormir, masque épuisé!
A pleurer, massacre de clefs!
A lire, arbres dévorés!
A mourir, les corps alluvionnaires!
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Mercredi renonce à sa tentation de distraire le maître de chez.
Jeudi à la proue de ton coffret à viandes, les coups tordus du bide aviné.
Vendredi tu somnoleras sur un tapis de choux catapultés par Mathurin.
Samedi prise d'une tranchée d'aortes saignées à noir.
Dimanche des morceaux d'hommes pendouillent au réservoir des morts.
Lundi cicatrisant, tu plies le cul et ramasses tes frusques.
Mardi il est loin le temps des cerises outragées.
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Sur ta peau, en falbala de lumière, deux doigts dessinent l'orbe d'une lèvre posée asséchée puis brusquement saisie en eau de sang entre les cuisses creusées par le trait quotidien de jus que la veine stressée aboit comme elle le crache.
Tant au triangle pâmoisé qu'à la verge ignée les heures ne comptent plus sous l'horloge liquide.
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Samedi rêve de poulpe au cul de la limande échancrée Dimanche nous balaierons ensemble le palais américain Lundi à l'arrache de draps dans le plume des diversions de corps Mardi entre moi mon anatome et l'intervalle de carresses Mercredi paléo à la pelle sur les scories de ta peau tellurique Jeudi à renarder sous frondaison noctambule l'arbre des cataractes Vendredi tu pleurniches mon rémora et gare à tes ouies bénies oui. votre commentaire
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Mardi à pas de loupe pressée contre ton ventre alléché.
Mercredi quelques banquiers se fendront de quelques obamesques déconnes.
Jeudi ouvres toi Amérigo et recraches les indiens morts.
Vendredi ondoiera entre tripotage et ventripotage.
Samedi quatres fers à vapeur graviront la montagne des couilles salutaires.
Dimanche peu de bruit autour de la tombe de Lorca plombé par la nuque.
Lundi échines toi à versifier autour de ton pinus obolus lectus.
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