•  Ton pariétal sous la langue de ma bouche , les tempes englouties

    Je défais les cheveux de ta hampe spirituelle, étirement des auréoles, elles auront blanchi comme l'évier saturé de carresses

    Pleine poignée d'épaules tressées comme algues outragée d'eau le temps de pénétrer l'arceau circumvoilé, petite rose des sables

    La moulure d'excave souffle, les grandes humidités affluent continentales des ventres partagés,

    Mon os gravité se pend à ton ouvroir tout en aquarium de sperme.

     


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  • Suite à la destruction des rêves, la Voix annonce que l'étape prochaine sera l'émancipation des morts en conséquence de quoi les pseudo vivants tout cuir ou tout coton se verront astreints à une longue pénitence version silence on tue et autres génocides légèrement mis en musique par l'Amadeus pays qui sait si bien faire son et lumière  avec des têtes de chiens fendues. Il sera chanté ensuite , sous formes de vêpres apocryphes , des nocturnes endiablées que la Voix ponctuera de slogans millénaristes. Les têtes de cous coupées qui ne se conformeraient pas à la suavité de ces sollicitations se verraient mis à l'index par le majeur amusé du concubin de la Voix. Serrez les rangs par la gauche, suivez le fleuve rouge, alertez les grenouilles sur votre passage, ne vous enrhumez pas de slip de cheval, protégez vous des verges cannelées et montrez vous ouverts à l'apologue qui vous enfile.


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