• Quand Dieu est mort les hommes se sont savonnés l'anus

    Et se sont ficelés entre eux pour mieux apprendre la langue universelle

    Le pape, autrement dit le panzer-cardinal, sodomisa bien quelques enfants de choeur restés sous l'autel du Saint-Pierre de crainte de demeurer orphelins

    Mais pour le reste, les peuples se sont déridés puis franchement ont déconné en se fabriquant des ailes à la cons pour voler avec les oiseaux

    Quand Dieu est mort l'amertume d'une spoliation s'est fait jour dans la nuit des opprimés

    Ceux là même volés par la Deus/Compagnie alliée aux armements et aux génocidaires

    Alors, le jour de l'émancipe jt'dis pas la festenouille au pays des danseurs de danses interdites, celles spirituelles vraiment spirituelles

    On a vu un cureton courir après un livre d'un philo-philosophe renégat sur ses tranches et abondant de grâce

    Quand Dieu est mort l'homme s'est fait oiseau, tout doucement bu par le ciel.


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  • Je dégraffe le cintre qui épaule tes hanches par dessus la longue écuelle de sang

    Tu n'entends pas être celle qui demeure après l'in-cathédras de draps sur les corps

    J'entend ta voix dire les oreilles de l'âne, il se distingue parmi tes amants rognés

    Tu patines sur mon phalle éreinté, le piétine avec la colle des nuits boursouflées

    Mes sommes de sommeil te rendent grâce, il n'est plus l'heure de bruire

    En avant carpes et lapins, tu te grimpes aux lianes excessives et brulantes

    Je déroule une écharpe de dents dans ton palais des estivaux, ta langue en suppositoire

    Tu rampes sur mes enflés, ô les sourcils ouverts qui baillent dans ta vulpe

    Fouir toujours, les jouissances repues sur leur frein d'après montre.


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