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Par lorca1 le 3 Juin 2011 à 19:55
Ce chien est un despote une raclure de clebs
Un poseur de diktat un défaiseur de rire
Il est dit au palais qu'il consomme de l'homme
Je demeure silencieux de crainte de rotir
Narrer son écuelle est un crime mortel
Gédéon son coiffeur s'est fait coudre les lèvres
Que fait il pomadin si il ne jase plus
Le chien dans sa bonté lui a coupé les mains
Ce canin est stérile il n'a pas de portée
Anthropomorphe à souhait il apprend à parler
Mais demeure ce conneau de toutou à poil ras
Un avis de recherche me souligne comme traitre
C'est ma fête dès lors je me cache chez chat.
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Par lorca1 le 2 Juin 2011 à 19:59
Un homme ploie genre incendié
Totalitaire avec ses os
Distant par dessus les villes
Asséché par la singularité de ses pleurs
Il n'a pas oublié que vivre est une étape
Il est entré en désuétude bien avant sa jeunesse
Un homme ploie genre étouffé
Il marche à l'ombre de ses peurs
Grand incendie parmi les vifs
Hormis son chien qui se pavane
Ils s'accompagnent en devisant.
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Par lorca1 le 31 Mai 2011 à 19:05
Le corps funeste montre transpire des traits d'alcool
Il lui prend de mendier quiétude et volupté
Mais sa ration de vin décuple ses entrées
Il marche à pas perdus ruisselant près du fleuve
Courbé et s'échinant sur l'aval des terreurs
Que sait-il des douceurs de la chambre du lit en Romeo
Il attend près d'un port l'adresse d'une ville
S'immerger dénommé au grand sein des multiples
Parmi les vifs pressés anonyme tristesse
Et son rayonnement d'invétéré buveur
Serait une ruelle patiemment dépeuplée
Au lampadaire crochet un flapi de pendard.
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Par lorca1 le 28 Mai 2011 à 21:17
Impossible d'écrire ce soir, les lémures attaquent de toutes part, les virus en goguettes, surtout ne m'ouvrez pas, je pue.
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Par lorca1 le 28 Mai 2011 à 21:14
Dalle ils m'ont plié dix vers de terre
Sucé trois piastres voué au boire
Volé une boite d'appats au pain peine perdue
Démanché un avant bras qui se servait dans la bouche d'une truie
J'ai pris mes hanches à mon cou
Traversé la ville périlleuse avec au cul les spadassins de Mathurin
Je courre encore à ce jour plein d'une misère de paria
Jamais ne cesserait de pleurer autruche segmentée.
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