• Une bande de trognes au sec sec

    Les licheurs de rak à canne

    Les murgés au cubi

    Les zobits du zinc instable

    Une bande de poivres au vin paté

    Les crémants au pinoche

    Les souilleux du ragondin

    Chiotteurs d'après kro purgente.


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  • Tu l'aimes, dis tu l'aimes ton assigné à résidence genre pot de beurre à merçi de tes glissades concupisces?

    Dis tu l'aimes plutôt palmé ou avec des ressorts dans le fion genre truite bleue dans sa passe à poisson?

    Tu l'aimes, dis tu l'aimes ton souligné des baignoires au service de tes exclusivités de mante?

    Dis tu l'aimes avec ses bottes de pêcheur engluées dans ta mare rougie à la phalange désossée?

    Tu l'aimes, dis tu l'aimes ton triton téméraire lorsqu'il se lache sur tes berges spumeuses?

    Dis tu l'aimes avec son rond de serviette coincé dans ta soupière alors qu'il gueule: A boire!!!!!?

    Tu l'aimes, dis tu l'aimes cet artificier des nocturnes de phalle désemburné à la fraise brûlée?

    Dis tu l'aimes tout en saut de grenouille sur ton ventre laiteux où des mains se tricotent des poutres?

    Tu l'aimes, dis tu l'aimes pareil à l'autre auteur de tes nuits impairs que demain tu videras de ses filaments?

    Dis tu les aimes tes amants remontés comme cloches à la proue de tes vagins frontaux?


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  • Son ombre mange de l'homme

    Elle fume sous les arcades de la place Jurne

    Elle s'enroule autour d'un corps qui vacille et se clos

    Un homme retranché de la vie croule sous ses blessures

    L'ombre du mort s'acharne sur le minuit des vifs

    L'heure n'est pas à la rétention de larmes

    Il est venu le temps d'honnir la lumière

    De désespérer l'autel des mille raisonnables

    Rien du mort ne t'épargne pas même son baiser

    Son ombre achemine la nuit sur tes yeux découpés

    Sois le dîner fertile et demeure ton éternel silence.


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  • L'Orgel l'empaffe, ses onze doigts pincés sur le phalle du nubile

    Distribution de manches au royaume des fieux, les argonautes en transe

    Le prince rutilant bronze sur les corps déloqués, du fion en expertise

    La soupe de minuit échoit dans les assiettes, creusement des désirs

    Au jus les cathédrales de hanches, les essorts d'emmanchés

    Les hommes en panoplies de rêve se torsionnent, s'emboitent

    L'Orgel comte des nuits se meut sur les poinçons, le va t'en vient

    A la fin le manoir vacille sur ses tranches, la gorge tranchée de sperme.


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  • Je fume le long du fleuve, robusto aux talents métronomes

    Mes vieilles aspérités renaissent autour de mon fumier cérébral

    Les portes claquent dans ma tête tandis que l'eau embourbe mes pensées

    Je ressasse l'indéfinissable pâleur des heures à te quitter

    La crise de silence éprouvée à l'instant de l'incroyable quantité de néant

    Tu m'as digéré, que se pose sur toi l'oiseau intraveineux

    Le sang aux ailes de voyageur partit par l'escalier colimaçant

    J'ai demeuré longtemps en attendant que les fleurs fânent

    Celles qui furent le dernier bouquet maitre-chanteur

    Et au moment où se consume la vitole humée par le delta

    Je me sermente à petits pas autour des roseaux.


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