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Par lorca1 le 13 Juillet 2011 à 20:13
Une bande de trognes au sec sec
Les licheurs de rak à canne
Les murgés au cubi
Les zobits du zinc instable
Une bande de poivres au vin paté
Les crémants au pinoche
Les souilleux du ragondin
Chiotteurs d'après kro purgente.
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Par lorca1 le 11 Juillet 2011 à 19:53
Tu l'aimes, dis tu l'aimes ton assigné à résidence genre pot de beurre à merçi de tes glissades concupisces?
Dis tu l'aimes plutôt palmé ou avec des ressorts dans le fion genre truite bleue dans sa passe à poisson?
Tu l'aimes, dis tu l'aimes ton souligné des baignoires au service de tes exclusivités de mante?
Dis tu l'aimes avec ses bottes de pêcheur engluées dans ta mare rougie à la phalange désossée?
Tu l'aimes, dis tu l'aimes ton triton téméraire lorsqu'il se lache sur tes berges spumeuses?
Dis tu l'aimes avec son rond de serviette coincé dans ta soupière alors qu'il gueule: A boire!!!!!?
Tu l'aimes, dis tu l'aimes cet artificier des nocturnes de phalle désemburné à la fraise brûlée?
Dis tu l'aimes tout en saut de grenouille sur ton ventre laiteux où des mains se tricotent des poutres?
Tu l'aimes, dis tu l'aimes pareil à l'autre auteur de tes nuits impairs que demain tu videras de ses filaments?
Dis tu les aimes tes amants remontés comme cloches à la proue de tes vagins frontaux?
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Par lorca1 le 10 Juillet 2011 à 18:40
Son ombre mange de l'homme
Elle fume sous les arcades de la place Jurne
Elle s'enroule autour d'un corps qui vacille et se clos
Un homme retranché de la vie croule sous ses blessures
L'ombre du mort s'acharne sur le minuit des vifs
L'heure n'est pas à la rétention de larmes
Il est venu le temps d'honnir la lumière
De désespérer l'autel des mille raisonnables
Rien du mort ne t'épargne pas même son baiser
Son ombre achemine la nuit sur tes yeux découpés
Sois le dîner fertile et demeure ton éternel silence.
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Par lorca1 le 9 Juillet 2011 à 21:25
L'Orgel l'empaffe, ses onze doigts pincés sur le phalle du nubile
Distribution de manches au royaume des fieux, les argonautes en transe
Le prince rutilant bronze sur les corps déloqués, du fion en expertise
La soupe de minuit échoit dans les assiettes, creusement des désirs
Au jus les cathédrales de hanches, les essorts d'emmanchés
Les hommes en panoplies de rêve se torsionnent, s'emboitent
L'Orgel comte des nuits se meut sur les poinçons, le va t'en vient
A la fin le manoir vacille sur ses tranches, la gorge tranchée de sperme.
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Par lorca1 le 7 Juillet 2011 à 19:21
Je fume le long du fleuve, robusto aux talents métronomes
Mes vieilles aspérités renaissent autour de mon fumier cérébral
Les portes claquent dans ma tête tandis que l'eau embourbe mes pensées
Je ressasse l'indéfinissable pâleur des heures à te quitter
La crise de silence éprouvée à l'instant de l'incroyable quantité de néant
Tu m'as digéré, que se pose sur toi l'oiseau intraveineux
Le sang aux ailes de voyageur partit par l'escalier colimaçant
J'ai demeuré longtemps en attendant que les fleurs fânent
Celles qui furent le dernier bouquet maitre-chanteur
Et au moment où se consume la vitole humée par le delta
Je me sermente à petits pas autour des roseaux.
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