-
Par
lorca1 le
27 Décembre 2005 à 13:17
Ne rien dire qui serait ditet qui ferait le tour de la tableoù sont rassemblées quatre expurgés de la tentation de direet que je sais si fourbes que même la raison a quitté cette demeureoù rien ne se dit mais où tout se suggère à demi dentsà demi doigtà demi plumeà demi feules quatre frelatent la vérité coercisant ainsi le rêve de votre servile écrivassierne rien dire qui serait dit hors du propos sage de mes formesalors que se taisent les rituels de sang à venirque je sais avoir écris quelque part sur la nappelors d'un repas de silures et de démonesbeuuurrrrrrrrrkkkkkkkkkkkkkkk!!!je ne vais pas vous dire ô combien l'eau est du sang dans la baignoireje ne vais pas vous dire que la tentation me sucre perte d'énergie blanchealors qu'il m'est loisible de mourir pour tuer le dire.
votre commentaire
-
Par
lorca1 le
26 Décembre 2005 à 21:08
Je suis fume une vitoleapaisement de la boite mnémoniqueles images de guerres se fondentdans les images de guerresje suis revomisil témoigne de la venue d'un autrecet instant de partage sur le trottoir"viens je vais te nourrir"le pain comme le sacrement du futur mortje suis observe l'auréole sur le faît de l'arbre écorce au bras du troncpetit déplacement forestier avant tranchéeil trébuche il renonce au privilège d'être en vieet la peur de quitter Eve dit j'aime Eveje suis est en chemin vert autour des lieux de saintetéil ne prie pas il boitil ne boit pas il pleureil ne pleure pas il prie.
votre commentaire
-
Par
lorca1 le
25 Décembre 2005 à 12:41
Emergence de ma têtel'eau salée m'alvéole,bien êtremon esprit vacille encore un peu, nuitamment cascadéje nage encore un peu dans le lagon baignoiresur sous sur sousdes chalands dominicaux m'environnent ont ils bu les vierges bouteilles?sur le sable corallinéje m'allonge en élastique, performance de mes osoh que c'est bon de dormir sous l'arbre frêreet alizé qui carresse mon ventre comme le ferait l'amie matinaleemergence de mes riresles enfants jouent dans l'allée d'eaudes mains chavirent, des pieds refoulentles enfants qui me guidentmes enfants qui accompagnent mes doutesémergence de tes yeux làau bord de mes lèvres sabléeset le coeur qui donne le timbre de l'amour.
votre commentaire
-
Par
lorca1 le
24 Décembre 2005 à 13:59
Les murs se dévissentMathurin me regarde avec aviditédes sconses ses complices me proposent un cerceuildeux lémures me reniflentje me lézarde, mur parricideréveillon dans le sud mondesur ma chair abondie les goules me grattent le dermepoisseuses, avides, dentées comme des bourques affaméesau secours!!!!!!au secours!!!!petit papa Noël!!!!!
votre commentaire
-